« Qui a le goût de l’absolu renonce au bonheur ». Ce goût de l’absolu, c’est celui qui donnera tout son sens au destin commun de Bérénice et Aurélien, protagonistes du roman de Louis Aragon, « Aurélien », publié en 1944. Un destin initié par l’une des rencontres les plus marquantes de la littérature française.
1 CommentaireÉtiquette : opinion
Ce type de format vise à partager une expérience de lecture sincère plutôt que de concasser grossièrement des livres, ce dont la 4e de couverture s’occupe déjà. Aujourd’hui devient coutume je souhaiterais m’attarder, pas trop longtemps tout de même, sur l’ouvrage de Milan Kundera : L’insoutenable légèreté de l’être.
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