Au programme de cette quatrième chronique littéraire, Dans le café de la jeunesse perdue de Patrick Modiano, auteur primé du Nobel et du Goncourt. Un bouquin de 2007 qui est pour le moins déroutant dans sa volonté continue de perdre le lecteur. Il n’en reste pas moins résonnant d’actualité quant à ce besoin d’évasion face à un avenir…incertain.
Commentaires désactivésÉtiquette : livre
« On ne comprendra absolument rien à mon œuvre si l’on ne comprend pas le fait très simple que ce sont d’abord des livres d’amour et presque toujours l’amour de la féminité ». C’est sur cette phrase que Romain Gary clôt son entretien retranscrit dans La nuit sera calme (dernier entretien accordé, quelques mois avant sa mort). Les deux amours de sa vie furent la littérature et la féminité. Attardons-nous sur ce Roman Kacew, homme qui fît de son Œuvre une ode à la femme.
Commentaires désactivés« Qui a le goût de l’absolu renonce au bonheur ». Ce goût de l’absolu, c’est celui qui donnera tout son sens au destin commun de Bérénice et Aurélien, protagonistes du roman de Louis Aragon, « Aurélien », publié en 1944. Un destin initié par l’une des rencontres les plus marquantes de la littérature française.
1 CommentaireCe type de format vise à partager une expérience de lecture sincère plutôt que de concasser grossièrement des livres, ce dont la 4e de couverture s’occupe déjà. Aujourd’hui devient coutume je souhaiterais m’attarder, pas trop longtemps tout de même, sur l’ouvrage de Milan Kundera : L’insoutenable légèreté de l’être.
Commentaires désactivésQuelques mois après les attentats de janvier 2015 qui ont causé la mort de dix sept personnes, Philippe Val, ancien co-directeur du journal avec Cabu, publie C’était Charlie, non sans émotion. Le livre, très critiqué à sa sortie – la vérité de Val n’étant pas la même que celle de ses adversaires; retrace l’histoire de l’hebdomadaire satyrique Charlie Hebdo, et l’aventure humaine d’une rédaction qui se bat de toutes ses forces pour la liberté d’expression.
1 CommentaireAprès un premier reportage en février 2015, qui avait donné l’impulsion à une vague de dénonciations sur la toile, Mélanie Déchalotte passe à la vitesse supérieure et publie Le Livre noir de la gynécologie, où elle dénonce les violences gynécologiques et les mécanismes de domination patriarcale présents dans le milieu médical.
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