Le Le 10 février dernier, le Conseil des Ministres adopte le projet de loi Climat et résilience. Le même jour, le Boston Consulting Group (BCG) livre son rapport, commandé par le gouvernement lui-même, sur l’efficacité des mesures gouvernementales prises depuis 2017 pour réduire les émissions de gaz à effets de serre à l’horizon 2030. Le cabinet en conseil stratégique – l’un des trois plus gros au monde – apporte-t-il le satisfecit attendu par son commanditaire ? En passe à des critiques récurrentes sur son action écologique, le gouvernement trouve-t-il du soutien dans ce rapport complice ? Et surtout, pourquoi avoir fait appel à un géant du conseil pour évaluer les politiques publiques ?
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