« On ne comprendra absolument rien à mon œuvre si l’on ne comprend pas le fait très simple que ce sont d’abord des livres d’amour et presque toujours l’amour de la féminité ». C’est sur cette phrase que Romain Gary clôt son entretien retranscrit dans La nuit sera calme (dernier entretien accordé, quelques mois avant sa mort). Les deux amours de sa vie furent la littérature et la féminité. Attardons-nous sur ce Roman Kacew, homme qui fît de son Œuvre une ode à la femme.
Commentaires désactivésCatégorie : chronique d’un livre annoncé
« Qui a le goût de l’absolu renonce au bonheur ». Ce goût de l’absolu, c’est celui qui donnera tout son sens au destin commun de Bérénice et Aurélien, protagonistes du roman de Louis Aragon, « Aurélien », publié en 1944. Un destin initié par l’une des rencontres les plus marquantes de la littérature française.
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