« Qui a le goût de l’absolu renonce au bonheur ». Ce goût de l’absolu, c’est celui qui donnera tout son sens au destin commun de Bérénice et Aurélien, protagonistes du roman de Louis Aragon, « Aurélien », publié en 1944. Un destin initié par l’une des rencontres les plus marquantes de la littérature française.
1 Commentaire