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Étiquette : Cinéma

Interview : Edwy Plenel et Costa-Gavras se retrouvent pour une série documentaire

Après le livre Tous les films sont politiques, Costa-Gavras et Edwy Plenel se retrouvent à nouveau, cette fois-ci autour de la création de la série Le siècle de Costa-Gavras. À l’occasion de la présentation de…

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Valse avec le cinéma #19 Hanyo

Parasite est certainement le film de 2019 qui a fait le plus parler de lui. D’abord un film de festival s’adressant aux cinéphiles, le long métrage est distribué un peu partout dans toute la France, fait rare pour un film d’auteur coréen. Profitant d’un excellente bouche à oreille sur la durée, ainsi qu’une distribution progressive dans le monde, Parasite devient une nouvelle référence du cinéma coréen dans le monde ; avec presque deux millions d’entrées en France, une palme d’or et un oscar du meilleur film.

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Côté Ciné #14 : Douze hommes en colère

Sélectionné pour préservation par le National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès en raison de son intérêt « culturel, historique ou esthétique » et considéré par l’American Film Institute comme le deuxième meilleur film de procès, Douze Hommes en colère est un huis-clos brillant dans lequel douze jurés doivent délibérer sur le sort d’un jeune homme accusé de parricide, qui risque la chaise électrique, alors que tout les oppose. Ce film à la mise en scène théâtrale et claustrophobe a été réalisé par Sidney Lumet en 1957, et aujourd’hui encore, il reste un chef-d’œuvre brillant indémodable.

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Valse avec le cinéma #17 A touch of Zen

Si j’ai choisi de vous parler de A touch of Zen aujourd’hui, c’est pour vous montrer à quel point un registre cinématographique peut varier en fonction d’une interprétation personnelle. Ces deux films, bien qu’appartenant au cinéma de wu xia, sont complètement opposés. Bien sûr, le détour par cet article me permet de gagner du temps, puisque je ne rappellerai pas les fondements du wu xia pian et son évolution ; ce qui est d’autant plus important dans le cas de A touch of zen. Par sa date de sortie et son style abouti, il apparait comme la forme ultime d’un certain cinéma. Je vais donc vous expliquer comment le chef-d’œuvre de King Hu arrive à être si poétique. Enfin, il y’a tant de choses à dire sur ce film, je proposerai donc avant tout une synthèse personnelle sur un aspect parmi d’autres, pour ne pas faire un article de cinq pages.

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Côté ciné #13 : LETO (2018)

Leningrad, URSS, un été du début des années 80. Des jeunes entrent par la fenêtre d’une salle de concert privée malgré l’interdiction. Ils veulent assister à un concert de rock, cette « musique de l’ennemi américain » tant convoitée par une part de la jeunesse soviétique en manque d’émancipation et en plein conflit générationnel avec leurs aînés. Dans ce monde de l’interdit où être jeune se résume à éviter les pièges et les restrictions (ce qui rappellerait une certaine époque), des disques de David Bowie et de Lou Reed s’échangent sous le manteau et une scène musicale underground fourmille.

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