Un dimanche d’élection française à Casablanca, c’est traitre. Comme la gueule de bois.
Le réveil est moins difficile qu’un dimanche coutumier. D’abord car la période ramadanesque le veut, les samedi soirs au bar intimement liés au paracétamol du lendemain, sont suspendus quelques temps. Surtout, car c’est un dimanche que tu attends depuis un petit moment.