François Ozon a-t-il intentionnellement fait de son dernier long-métrage Grâce à Dieu un film politique ? Le réalisateur provoque dès le titre en se réappropriant le lapsus révélateur employé par le cardinal Barbarin lors de son procès : « La majorité des faits, grâce Dieu, sont prescrits ». Grâce à Dieu évoque également l’attente du verdict des deux référés dont il a fait l’objet. Mais c’est surtout l’intrigue qui dérange certains.
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